Notre méthode ? Un processus participatif inédit

Pour élaborer le projet politique, Il fera beau demain lance un processus participatif basé sur l’écoute des citoyen.ne.s et l’apport des expert.e.s. Il a lieu à la fois en ligne et hors ligne et se déroule en quatre phases. Il concrétise notre ambition et nos valeurs.

Phase 1 : Dialogues citoyens (de février à juin 2020)

  • « Dialogues citoyens participatifs » ouverts à tous.te.s partout en Wallonie et à Bruxelles ;
  • Commissions thématiques réunissant des expert.e.s ;
  • Plateforme de délibération en ligne pour permettre à tous de participer et reprenant les apports des bassins de vie et des expert.e.s.

Phase 2 : Synthèses et recommandations (de juillet à octobre 2020)

  • Synthèse des propositions sur la base des résultats des dialogues citoyens, hors ligne et en ligne, et de la cohérence avec la vision et les valeurs de Il fera beau demain ;
  • Identification des propositions qui clivent les partipant.e.s.
  • Elaboration d’une pièce à casser de 99 propositions

Phase 3 : Co-décision et nouvelles concertations (de octobre 2020 à mars 2021)

  • Débat en assemblées mixtes de citoyen.ne.s et d’élu.e.s sur les propositions clivantes ;
  • Consultation en ligne et hors ligne sur les 99 propositions ;
  • Elaboration d’une recommandation de synthèse finale
  • Soirées délibératives par enjeu
  • Vote et validation finale par les participants à « Il fera beau demain » et publication des propositions.

Phase 4 : Création du nouveau mouvement et participation continue (à partir de 2021)

  • Volonté de rassembler largement autour de valeurs et de projets plutôt qu’autour de dogmes et de slogans : la réalité est complexe, elle se prête mal aux raccourcis et aux « yakas » ;
  • Poursuite du dialogue avec les citoyen.ne.s : possibilité de participer aux débats internes au mouvement sans être membre ;
  • Transparence du mode de décision interne. La plateforme de délibération en ligne permettra une participation plus directe aux décisions. Chacun.e conservera sa pleine liberté de conscience : participer à un mouvement ne demande pas d’être d’accord avec toutes ses positions ;
  • Diversification des modes d’action. Se présenter à des élections, exercer des responsabilités politiques resteront la raison d’être du mouvement, mais ce ne seront pas les seules manières de défendre ses valeurs. Les actions de terrain, notamment associatives, permettront également de mettre en œuvre le projet sans attendre les prochaines élections ;
  • Renouvellement du personnel politique : les listes électorales accorderont une place importante à des personnes nouvelles en politique. La diversité de la population, en termes de genre et d’origine, comme de niveau socio-économique et éducatif, sera représentée.